Les animaux de Giotto à Vincent Munier
Strasbourg 67000
Du 19/02/2026 au 26/02/2026
Mise en résonance des animaux présents dans les collections avec les œuvres photographiques de Vincent Munier.
Strasbourg 67000
Du 19/02/2026 au 26/02/2026
Mise en résonance des animaux présents dans les collections avec les œuvres photographiques de Vincent Munier.

Patrimoine - Culture, Exposition
Strasbourg 67000
Du 12/11/2025 au 27/04/2026
En écho à la réouverture du Musée Zoologique, cette exposition met en regard des œuvres appartenant aux collections de plusieurs musées de la Ville de Strasbourg représentant l’animal et la nature, avec celles, photographiques et contemporaines de Vincent Munier, qui avec son art et sa technique parvient à capter l’immédiateté d’un moment passé face à l’animal, qui dès lors qu’il est photographié obtient lui aussi le statut d’oeuvre d’art. L’art comme la nature méritent aujourd’hui encore plus qu’hier d’être observés, contemplés, et protégés. Les publics sont incités à prendre le temps d’observer, de contempler et de rêver. Et parce que très souvent pour déconnecter, l’homme se rapproche de la nature, le musée a voulu inviter la nature dans ses salles. Il convient de «savoir-regarder» pour «savoir protéger». Finalement, la quête d’un visiteur de musée ne s’apparente-t-elle pas à celle du photographe animalier ? Le musée n’est-il pas à sa façon une sorte de réserve, de refuge ?
Strasbourg 67000
Du 07/11/2025 au 27/04/2026
En écho à la réouverture du Musée Zoologique, cette exposition met en regard des œuvres appartenant aux collections de plusieurs musées de la Ville de Strasbourg représentant l’animal et la nature, avec celles, photographiques et contemporaines de Vincent Munier, qui avec son art et sa technique parvient à capter l’immédiateté d’un moment passé face à l’animal, qui dès lors qu’il est photographié obtient lui aussi le statut d’oeuvre d’art. L’art comme la nature méritent aujourd’hui encore plus qu’hier d’être observés, contemplés, et protégés. Les publics sont incités à prendre le temps d’observer, de contempler et de rêver. Et parce que très souvent pour déconnecter, l’homme se rapproche de la nature, le musée a voulu inviter la nature dans ses salles. Il convient de «savoir-regarder» pour «savoir protéger». Finalement, la quête d’un visiteur de musée ne s’apparente-t-elle pas à celle du photographe animalier ? Le musée n’est-il pas à sa façon une sorte de réserve, de refuge ?